Qui sommes nous
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Notre conscience
BioMolenez est fondée sur des valeurs éthiques fortes qui guident chacune de nos actions. Nous sommes fiers de nous inscrire dans des mesures concrètes pour préserver la biodiversité marine, soutenir les communautés locales et protéger les ressources naturelles.
"Nous ne sommes pas extérieurs à la nature, mais nous en faisons partie. La nature n'est pas un décor autour de nous, elle est une communauté dont nous sommes membres. Nous devons apprendre à vivre en harmonie avec elle, plutôt que de chercher à la dominer."
Depuis la fondation de « Océalys laboratoire » en 1993 le principe directeur de nos activités présentes et futures fut alors ainsi défini : Éco-conception. « Processus par lequel chaque étape de la conception d’un produit, de l’exploitation de la matière première au produit fini, prends en considération l’impact écologique de cette production afin qu’elle ne cause nulle dégradation environnementale ni trouble pour le consommateur et débouche en fin de processus sur un produit vendu (fini ou intermédiaire) qui soit de la plus haute qualité possible ainsi qu’une pratique d’exclusion systématique lors du processus de toute substance non naturelle ou pouvant présenter un effet néfaste quel qu’il soit ».
Aux faits relatifs aux changements climatiques et de l’impact de l’activité humaine d’avoir donné pleinement raison, bien avant l’économie bleue du XXIème siècle, aux esprits ayant conceptualisé et mis en application un rapport différent du lien entre l’activité Humaine et son impact environnemental pour répondre à ses besoins de bien-être.
BioMolenez est née de cette volonté de ne pas seulement produire mais créer.
Impulser de nouvelles idées et des dynamiques en cohérence avec la spécificité du territoire de l’ile de Molene et de la Mer d’Iroise qui méritent toute leur place de par la qualité de leurs apports
Récolte : Respect de la nature et de la biodiversité marine :
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Donations : S'engager pour le bien-être des communautés côtières et la protection de la mer
L’engagement pour la préservation et la promotion des richesses de nos territoires uniques s’étend naturellement au soutien associatif ;
À cette fin, nous sommes fiers de pouvoir […]
reverser une partie de notre chiffre d’affaires à des organisations qui partagent nos valeurs.
Nous avons choisi de soutenir l’organisme culturel Inizi, qui a pour mission de préserver le patrimoine maritime et culturel des îles du Ponant où nous récoltons nos algues. Nous reversons 0.50€ sur chaque produit cosmétique de notre gamme Algalys vendu à cette association, afin de contribuer à la valorisation et à la transmission de ce patrimoine unique.
Nous avons également décidé de soutenir la Société Nationale des Sauveteurs en Mer (SNSM), qui est une organisation vitale pour la sécurité des marins et des plaisanciers en mer. Nous reversons également 0.50€ sur chaque produit cosmétique vendu à cette organisation pour aider à financer leurs opérations de sauvetage et de prévention.
En soutenant ces organisations, nous espérons participer activement à la protection de l’environnement et de ses acteurs, ainsi qu’à la transmission de notre patrimoine culturel maritime.
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Ressource : Protéger les algues et l'environnement marin pour les générations futures
Préserver la ressource marine est au cœur de notre activité. Nous nous engageons ainsi à respecter les quotas de récolte en vigueur et nous avons la volonté de coopérer et de nous engager pour le respect des espaces protégés tels que le Parc Naturel Marin d’Iroise et le label Unesco, Men & Biosphere qui sont associés à la mer d’Iroise dans laquelle nous sommes intégrés en tant qu’entreprise à l’intérieur même du Parc Marin.
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Permettez-nous de vous introduire notre projet écologique qui s’engage à promouvoir une bioéconomie bleue durable et à protéger l’environnement marin en Bretagne et au-delà. Nous visons à construire une communauté de personnes qui partagent nos valeurs et qui sont prêts à s’investir dans la protection de nos océans, de notre vie marine et de notre planète.
Nous nous concentrons sur la récolte responsable, la protection et la valorisation des algues, qui sont vitales pour la santé de l’écosystème marin.
Grâce à nos programmes de recherche, et nos liens avec les différents organismes écologiques et scientifiques, nous nous efforçons de comprendre les écosystèmes marins et d’explorer les moyens de promouvoir leurs applications écologiques ainsi que leurs protections et la repopulation des zones en danger.
Inspiration : le biomimétisme
« Sous la mer, vous cherchez votre passé, vous allez découvrir votre futur »
Notre Centre R&D s’inspire des nouvelles perspectives qu’offrent le biomimétisme en restituant ce qui existe de meilleur dans la nature, la bio-économie ou l’économie bleue ou encore l’économie circulaire en valorisant nos terroirs français.
Cette interpénétration du vivant et de la création soutient les actions en faveur de la biodiversité et du bien-être de notre planète et de nous-même.
Pour concevoir des principes actifs inédits, sensoriels, créatifs et performants, conçus comme de véritables rituels indispensables au maintien de la santé de notre peau.
Pionnier : la certification BIO
Biomolenez est pionner dans la certification biologique des algues marines, il l’est aussi aujourd’hui dans la formulation de ses extraits d’algues ou de plantes 100% naturelles
Nous valorisons les ressources marines depuis notre origine : les algues et les plantes marines biologiques récoltées par nos partenaires dans le Parc Naturel Marin d’Iroise ou encore les argiles et les eaux mères des marais salants ou encore les micro algues cultivées par nos ostréiculteurs ou celles cultivées dans le lac d’Oregon ou encore les plantes halophytes du bord de mer mais aussi les sources thermales comme celles du Blue Lagoon en Islande ou l’eau de Caldane en Corse
Le monde végétal est aussi pour nous une source continue d’inspiration : la pomme à cidre de Normandie, les huiles essentielles ou les plantes endémiques comme celles originaires de Corse ou de Provence, le curcuma de l’île de la Réunion, le beurre de ravelana à Madagascar, les thés, les plantes issues de la médecine traditionnelle chinoise etc..
Une conscience qui se reflètent dans tous les axes de développement de l’entreprise et de sa gouvernance
1- Transparence et Qualité
une expertise pour vous accompagner tout au long de votre projet de développement et qui s’appuie sur les normes européennes et internationales
2- Créativité
une source continue d’inspiration éthique et scientifique pour rester à la pointe de l’innovation dans notre domaine d’expertise
3- Respect des personnes (RSE)
pour la construction de collaborations et de partenariats sur le long terme
4- Ethique et écologique
pour valoriser les ressources naturelles et restituer leurs bienfaits en respectant leur cycle de renouvellement, leur biodisponibilité et sans abimer la biodiversité exceptionnelle de notre environnement
5- Économique
pour s’adapter à vos modèles économiques et construire ensemble un partenariat durable avec nos clients, nos fournisseurs et nos partenaires.
Notre histoire
BIOMOLENEZ fournit des extraits de plantes et d’algues et des principes actifs pour de nombreuses marques ) dans le domaine cosmétique (de la petite marque émergente aux grands groupes cosmétiques).
BIOMOLENEZ est reconnu pour son savoir-faire et son expertise, sa créativité et sa force d’innovation.
Notre équipe est guidée par l’échange et l’authenticité, pour construire avec chaque partenaire une relation durable en toute transparence et simplicité.
Pionner dans la certification biologique des algues, BIOMOLENEZ l’est aussi pour la certification des extraits de plantes de toute origine.
La Nature nous inspire.
BIOMOLENEZ s’inspire du vivant et de ce qui existe, les solutions naturelles et efficaces données par la Nature,
pour concevoir des principes actifs exclusifs qui puisent leur innovation dans le bio-mimétisme.
des méthodes d’éco-extraction 100% naturelles , respectueuses de la peau et de l’environnement et conçues dans une démarche de développement durable,
le monde marin, les algues et les plantes halophytes
le monde végétal, les fleurs, les fruits, les racines
Mot des fondateurs
La créativité nait de l’authenticité tout en respectant les traditions.
2002 : création de Bio Molenez (Bio : Biosphère et Molenez : nom Breton de l’Île de Molène). Premières récoltes d’algues a la main, extraction des algues sur place, et lancement d’une première gamme cosmétique.
2005 : jusqu’à 2005 un employé à temps plein sur l’ile, augmentation du matériel, centrifugeuse, robot de mixage, renfort d’une employé saisonnière, ainsi que ventes de rebus des gammes cosmétiques sur l’île.
2006-2007 : Partenariat avec plusieurs gammes cosmétiques marines, investissement dans l’espace de vente sur place, réorganisation des zones de stockage.
2007 : Fin des filtrations sur place, délocalisation au technopole de Plouzané chez Ocealiance
2007-2012 : La mise en macération continue sur place, sortie de la 2eme gamme Algalys
2012-2015 : Fin des mises en macération sur place, envoi des récoltes au laboratoire Ocealys, l’activité sur l’île est principalement les récoltes a la main et le magasin des algues
2015 : création d’un espace bien-être sur l’île
2021 : nouvelle gamme algalys
Pour finir nous aimerions vous partager un texte ecrit fin du 19e siecle, qui decris bien l’atmosphere de Molene : Texte de Victor-Eugène Ardouin-Dumazet
« Molène grandit. De loin cette terre basse développe en amphithéâtre une masse de maisons que nous prenons pour une grande ville, l’illusion est complète. Il semble que nous allons la toucher du doigt, mais ici les écueils se comptent par centaines, la Louise va de roche en roche pour doubler les Trois-Pierres, ces farouches écueils dont on nous avait parlé. Les Trois-Pierres se sont humanisées, il y a bien un peu de ressac, mais enfin nous entrons sans trop de secousses dans l’espèce d’anse ouverte par Lédénès de Molène, îlot parasite relié à l’île à marée basse, par une jetée sablonneuse et la terre principale. »
« La ville de tout à l’heure est devenue une humble bourgade de pêcheurs ; les maisons, basses, d’un blanc éclatant, se rangent en pente douce sur un plateau qui a l’apparence d’une lande rase. Un canot me conduit à terre ; le capitaine a peu de marchandises à décharger, il me recommande narquoisement de faire vite. Je le comprends, il s’imagine que je prends l’île pour une vaste terre, mais la carte me l’a appris : Molène a juste un kilomètre dans sa plus grande longueur, et 800 mètres à peine de largeur, c’est un ovale presque parfait. »
« Le village est propre, même gai, avec ses maisons basses escaladant la hauteur. Pas un arbre, mais contre les murs des rosiers et des fuchsias géants ; beaucoup de goémon séchant au soleil, à même la rue. Le goémon et la bouse de vache sont ici encore le combustible national. Justement dans la cheminée d’une maison ouverte flambe un feu de ce genre. Une femme vient de pétrir la pâte, elle en remplit un vase plat qu’elle pose sur la sole, là-dessus elle entasse son brasier de bouse de vache. C’est la façon locale de faire et cuire le pain. Les galettes ainsi obtenues n’ont rien de particulièrement appétissant, ni la forme, ni la couleur, ni le parfum. »
« Voici l’église, très humble ; une croix de pierre, quelques moulins à vent, plus loin, au point culminant ; dominant l’île, un sémaphore, 21 mètres au-dessus de la mer. J’y cours. De là, on découvre tout Molène, étroit plateau de 127 hectares. La surface est fauve, parce que la moisson d’orge est achevée ; des taches vertes sont formées par les champs de pommes de terre. Sur les 127 hectares de l’île, la moitié environ sont cultivés en champs grands comme une table, car la propriété n’est pas moins morcelée que dans les autres îles ; le reste est couvert par le village, les chemins, les moulins, les embryons d’ouvrages militaires installés sur la côte. »
« Ici encore les femmes seules cultivent la terre. Toute la population mâle est inscrite sur les registres de la marine et se livre à la pêche, le curé et l’instituteur seuls font exception à la règle. Les inscrits pêchent la langouste et le homard comme leurs voisins d’Ouessant. Marins intrépides, ils ont des embarcations réputées pour leur tenue à la mer. Pendant qu’ils sont à la pêche, les femmes bêchent ou moissonnent, récoltent le varech et fabriquent la soude. Ce sont elles qui entretiennent ces feux innombrables dont les épaisses fumées donnent à l’archipel un caractère si particulier. Ce sont elles encore qui exploitent pour le continent le sol de l’île : il a, paraît-il, de grandes qualités comme engrais. (…) »
« Je serais resté longtemps à contempler cet inoubliable tableau qui s’étend des côtes du Conquet aux farouches roches d’Ouessant, mais la Louise sifflait. Je me suis hâté d’accourir au port, entouré par les marchandes de homards et de langoustes puisant ces crustacés à même les viviers. Profitant de ce que le capitaine n’était pas encore revenu de la poste où il avait porté un sac de courrier, si menu et exigu, je commençais à interroger les pêcheurs pour connaître leur existence, quand le capitaine est arrivé et m’a ramené à bord. (…) Il me fallut quitter Molène, un des 569 habitants de l’île me fit promettre de revenir l’an prochain pour la fête patronale, saint Renan, qui a lieu le 15 août. Y retournerai-je jamais ? »
